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Ca sent l'été
--> (j'ai mis mon débardeur blanc qui dit 'regardez mes seins')

J'aurais bien envie de faire une réflexion existentielle sur le temps.

Après l'année qui vient de passer, maintenant expédiées les épreuves écrites, et alors que je n'ai pas tout à fait réalisé que.
Ca y est presque, j'ai terminé ma première année de fac.

 

Et le temps, enfoiré, qui s'obstine à passer vite.

Il fait des excès de vitesse, et on le voit à peine traverser devant nous. Un peu comme Superman quand il va très très vite, vous savez ? Hé bien, le temps a tendance à faire la même chose.

Là, il est passé devant moi, en un an, à une vitesse vertigineuse. Probablement le même genre de vitesse que celle d'un corps -lourd- tombant d'une tour -très haute-.

 

Je pourrais faire un bilan (merdique) sur toutes ces choses qui sont passées.

Sur les choses apprises.

Sur ces genses qui se prétendaient amis et qui ont disparu pour des raisons somme toute mauvaise. (Oui. Oui, après tout, pourquoi est-ce que je n'aurais pas encore raison ? On déciderait qu'elles ont tout perdu et que tant pis pour elles. Parce que je ne sais pas ce qu'elles ont gagné, mais moi j'ai de jolies personnes dans le coeur.)

Sur ces genses découverts. Sur les connaissances humaines acquises.

Sur les connaissances mathématiques, informatiques et littéraires.

Sur mes tentatives d'auto-conviction.
Sur mes plongeons à l'intérieur de ma tête qui n'étaient jamais très convaincants. Pas toujours très agréables. Souvent assez énervants. Et les trucs qui se ressemblent, ah merde !

Sur les genses qui n'ont pas voulu sortir de ma tête, ou que je n'ai pas laissés sortir.

 

Et puis en fait, j'en dirai pas plus.

Je souris en pensant que ça fait un an, Alex, n'Anne, Liberté, Typhaine, et presque Sibou.

Je souris en pensant à l'été qui arrive.

Je pense à l'Autre, à ses sourires et aux éclaircissements jamais venus.
A mes rêves érotiques, ses mains sur mes hanches, sa joue contre la mienne, ou celui où il se jetait sur moi, bouillonant de rage parce qu'il m'avait vue avec un autre.

Marrant, ça.

 

Et Céline. Qui en fait n'a pas tellement réussi. Dieu qui a raté son omniscience sur le coup.

Et AM. Et le soleil, et la mer. Et mes coups de soleil.

Peu importe.

 

 

PEU IMPORTE.

 

 

 

 

Ecrit par Endlich, le Jeudi 26 Mai 2005, 23:05 dans la rubrique .