Quand un des monsieurs que j'ai appelé m'a dit 'attendez, je rentre voir mon calendrier, je suis dans le jardin', et que j'entendais les enfants qui riaient, même les oiseaux mais moins fort que d'autres fois où les gens semblaient être dans une volière, j'ai eu très envie de pouvoir rentrer dans un chez moi avec un grand jardin.

Dîner dehors, le soir, dans l'odeur d'herbe et de rosée, regarder le soleil se coucher, s'allonger sur la pelouse humide et observer le ciel, écouter les cigales, les crapauds et les oiseaux, commenter les couleurs, respirer les odeurs.

J'ai eu envie de pause, envie de ne plus faire toujours la même chose chaque jour de la semaine, mots monotones, oh mademoiselle vous devriez faire une pause, vous avez la voix fatiguée, et la nervosité qui rend le rire trop facile. Le rire qu'on retient, c'est fatiguant et ça donne encore plus envie de rire.

J'ai eu envie de tendresse en fait.